Gilles Lebreton, Droit administratif général, 13e éd., Lefebvre Dalloz et Dalloz, 2025, Cours Dalloz ( Série droit public ), 639 p.
La première partie de cet ouvrage, consacrée à l’action administrative, traite du principe de légalité (limites), des missions de l’administration (service public et police administrative) et des procédés d’action exorbitants du droit commun (acte administratif unilatéral et contrat administratif). La seconde partie, relative au contrôle de l’action administrative, traite des juridictions administratives, de la responsabilité de l’administration, et des recours contentieux. Cet ouvrage a pour ambition de brosser le panorama du droit administratif français dans une perspective critique. Il souligne ainsi les insuffisances de ce droit trop technocratique et propose, pour y remédier, des solutions concrètes, qui s’inspirent du ralliement de l’auteur au « positivisme sociologique » — philosophie selon laquelle le droit positif n’est légitime que s’il répond loyalement aux attentes de la conscience collective. Il constitue ainsi une présentation du droit administratif qui ne s’adresse pas seulement aux étudiants mais aussi à tous ceux, acteurs du droit ou simples citoyens, qui veulent comprendre le présent pour maîtriser l’avenir
Gilles Lebreton, Droit administratif général, 12e éd., Dalloz et BNLefebvre Dalloz, 2023, Cours Dalloz ( Série droit public ), 629 p.
La première partie de cet ouvrage, consacrée à l’action administrative, traite du principe de légalité (limites), des missions de l’administration (service public et police administrative) et des procédés d’action exorbitants du droit commun (acte administratif unilatéral et contrat administratif). La seconde partie, relative au contrôle de l’action administrative, traite des juridictions administratives, de la responsabilité de l’administration, et des recours contentieux. Cet ouvrage a pour ambition de brosser le panorama du droit administratif français dans une perspective critique. Il souligne ainsi les insuffisances de ce droit trop technocratique et propose, pour y remédier, des solutions concrètes, qui s’inspirent du ralliement de l’auteur au « positivisme sociologique » — philosophie selon laquelle le droit positif n’est légitime que s’il répond loyalement aux attentes de la conscience collective. Il constitue ainsi une présentation du droit administratif qui ne s’adresse pas seulement aux étudiants mais aussi à tous ceux, acteurs du droit ou simples citoyens, qui veulent comprendre le présent pour maîtriser l’avenir.
Gilles Lebreton, Droit administratif général, 11e éd., Dalloz, 2021, Cours Dalloz ( Série droit public ), 629 p.
Gilles Lebreton, Droit administratif général, 10e éd., Dalloz, 2019, Cours Dalloz ( Série droit public ), 611 p.
Gilles Lebreton, Droit administratif général, Dalloz, 2017, Cours Dalloz ( Série droit public ), 615 p.
Gilles Lebreton, Droit administratif général, 8e éd., Dalloz, 2015, Cours Dalloz ( Série droit public ), 599 p.
Gilles Lebreton (dir.), Crises d'identité et droits fondamentaux de la personne humaine, L'Harmatttan, 2014, 279 p.
Gilles Lebreton (dir.), La démocratie participative, l'Harmattan, 2013, 268 p.
Gilles Lebreton, Droit administratif général, 7e éd., Dalloz, 2013, Cours Dalloz ( Série Droit public ), 591 p.
Gilles Lebreton (dir.), Sarkozysme et droits fondamentaux de la personne humaine, l'Harmattan, 2011, 338 p.
Le Groupe de Recherche et d'Etude en Droit Fondamental, International et Comparé (GREDFIC) de l'Université du Havre, s'est fixé pour mission d'analyser l'évolution des droits fondamentaux de la personne humaine. A cette fin, il organise tous les deux ans une journée d'études pour faire le point sur les tendances les plus récentes. Le présent ouvrage reprend les communications présentées lors de la septième de ces journées d'études, qui eut lieu à la Faculté des Affaires Internationales le 14 mai 2009. Il s'interroge, à la lumière du bilan des deux premières années de la présidence de Nicolas Sarkozy, sur la signification du " sarkozysme " et sur ses conséquences pour les droits fondamentaux. Il réunit deux types de contributions : des réflexions synthétiques sur les grandes évolutions des droits fondamentaux survenues de 2007 à 2009 dans les différentes branches du droit (constitutionnel, pénal, civil, administratif, européen...), et des analyses fouillées des principaux textes, événements et " affaires " qui ont marqué cette période (révision constitutionnelle du 23 juillet 2008, présidence française de l'Union européenne, discours de Dakar, discours du Latran, loi sur les étrangers, loi sur la rétention de sûreté, loi sur l'audiovisuel, loi relative au contrat de projet, affaire du fichier Edvige, création de l'Agence européenne des droits fondamentaux). La réflexion, délibérément critique, met l'accent sur les interrogations suscitées par les évolutions récentes, qui ne constituent pas forcément toutes des progrès dans la protection des libertés. Plusieurs auteurs analysent même le sarkozysme comme un courant de pensée qui, cédant à la fascination du modèle américain et aux sirènes de l'idéologie sécuritaire, favorise l'individualisme libéral des " droits fondamentaux de la personne humaine " au détriment des valeurs républicaines, approfondissant ainsi la problématique qui fait l'originalité de " l'Ecole du Havre ".
Gilles Lebreton, Droit administratif général, 6e éd., Dalloz, 2011, Cours Dalloz ( Série Droit public ), 583 p.
Gilles Lebreton, Jacques Bouveresse, Catherine Puigelier, Christophe Willmann, La dispute, Bruylant, 2011, 254 p.
Gilles Lebreton, Libertés publiques et droits de l'homme, 8e éd., Sirey, 2009, Sirey Université ( Droit public ), 569 p.
Gilles Lebreton (dir.), Crises sociales et droits fondamentaux de la personne humaine, l'Harmattan, 2009, 280 p.
Gilles Lebreton, Droit administratif général, 5e éd., Dalloz, 2009, Cours Dalloz ( Série Droit public ), 577 p.
Gilles Lebreton (dir.), L'évolution des droits fondamentaux de la personne humaine en 1997 et 1998: [2e journée d'études, Le Havre, 20 mai 1999], l'Harmattan et L'Harmattan, 2009
Gilles Lebreton, Jean Foyer, Catherine Puigelier (dir.), L'autorité, Presses universitaires de France, 2008, Cahiers des sciences morales et politiques, 328 p.
Gilles Lebreton, Droit administratif général, 4e éd., Dalloz, 2007, Cours Dalloz ( Série Droit public ), 563 p.
Gilles Lebreton (dir.), Valeurs républicaines et droits fondamentaux de la personne humaine en 2003 et 2004, l'Harmattan, 2006, 199 p.
Gilles Lebreton, Libertés publiques et droits de l'homme, 7e éd., A. Colin, 2005, Collection U ( Droit public ), 551 p.
Gilles Lebreton (dir.), Interrogations sur l'évolution des droits fondamentaux de la personne humaine en 2001 et 2002, l'Harmattan, 2004, 249 p.
Gilles Lebreton, Droit administratif général, 3e éd., A. Colin, 2004, Compact ( Droit ), 508 p.
Gilles Lebreton, Libertés publiques et droits de l'homme, 6e éd., A. Colin, 2003, U ( Droit ), 538 p.
Gilles Lebreton (dir.), Regards critiques sur l'évolution des droits fondamentaux de la personne humaine en 1999 et 2000, L'Harmattan, 2002, 289 p.
Gilles Lebreton, Libertés publiques et droits de l'homme, 5e éd., A. Colin, 2001, U ( Droit ), 527 p.
Gilles Lebreton, Droit administratif général, 2e éd., A. Colin, 2000, Compact ( droit ), 457 p.
Gilles Lebreton (dir.), L'évolution des droits fondamentaux de la personne humaine en 1997 et 1998: [2e journée d'études, Le Havre, 20 mai 1999], l'Harmattan, 2000, 249 p.
Gilles Lebreton, Sébastien Fatout, L'ambiguïté du droit français à l'égard du phénomène tsigane,, 2000, 96 p.
Gilles Lebreton, Libertés publiques et droits de l'homme, 4e éd., A. Colin, 1999, U ( Droit ), 521 p.
Gilles Lebreton (dir.), Les droits fondamentaux de la personne humaine en 1995 et 1996, l'Harmattan, 1998, 219 p.
Gilles Lebreton, Libertés publiques et droits de l'homme, 3e éd., A. Colin, 1997, U ( Droit )
Gilles Lebreton, Libertés publiques et droits de l'homme, 2e éd., A. Colin, 1996, U
Gilles Lebreton, Droit administratif général, A. Colin, 1996, Collection Cursus. Série Droit et Science politique, 215 p.
Gilles Lebreton, Libertés publiques et droits de l'homme, Armand Colin, 1995, U. Droit, 462 p.
Gilles Lebreton, Jean-Louis de Corail, Le pouvoir discrétionnaire exercé par l'administration française sur ses agents: évolution depuis le XVIIIe siècle, 1988
Le pouvoir discrétionnaire est la marge de liberté de l'administration résultant de l'indétermination de la réglementation juridique. Lorsqu'il est exercé par l'administration sur ses agents, et non sur les administrés, il revêt une spécificité juridique, grâce à la notion d'"interêt du service", sur laquelle le droit positif le fonde depuis le XVIIIEME siècle. Cette spécificité invite à articuler la réflexion autour de la confrontation entre "pouvoir arbitraire", jadis fondé sur la puissance publique sacralisée mais aujourd’hui dépourvu de tout fondement, et "pouvoir discrétionnaire", fondé sur l'intérêt du service. Les deux évolutions simultanées et opposées qu'engendre leur rivalité font chacune l'objet d'une partie : - la première partie retrace, à travers une étude minutieuse du droit positif depuis le XVIIIème siècle, la substitution progressive, à l’égard des "fonctionnaires", du pouvoir discrétionnaire au pouvoir arbitraire; - la seconde partie explique la crise d'identité actuelle du pouvoir discrétionnaire par l'imprécision de la notion d'intérêt du service (pour y remédier, nous en proposant une définition précise), et par la résistance du pouvoir arbitraire à l'égard des "agents non titulaires" (ici encore, des solutions sont proposées).
Gilles Lebreton, Janine Chanteur, Le Problème de la démocratie dans le Defensor pacis,, 1987
Le Defensor pacis ("Défenseur de la paix") est l'œuvre de Marsile de Padoue, philosophe italien du quatorzième siècle. Le but de Marsile, dans cet ouvrage, est de défendre l'empereur contre les guelfes partisans de la théocratie pontificale. Pour ce faire, il oppose à la légitimité divine du pape la légitimité élective de d'empereur. Dans sa thèse, Gilles Lebreton montre que Marsile est un véritable défenseur de la souveraineté populaire, même si certains aspects de sa "démocratie" demeurent archaiques. Il explique pourquoi Marsile doit être considéré comme le précurseur de Jean-Jacques Rousseau et comme le père de la Révolution française de 1789. Sa conclusion est que Marsile est le plus grand penseur politique du Moyen-âge.