• THESE

    L'évolution de la sanction en droit de la famille, soutenue en 2000 à Lille 2 sous la direction de Françoise Dekeuwer-Défossez 

  • Christine Desnoyer, Françoise Dekeuwer-Défossez, L'évolution de la sanction en droit de la famille,, 2000, 389 p. 

  • Christine Desnoyer, Audrey Darsonville, Sylvie Grunvald, « Présentation générale : une recherche sur le traitement pénal des viols », Actualité juridique Pénal, Dalloz , 2017, n°06, p. 256 

    Christine Desnoyer, « Auteurs et victimes de viol majeurs dans les dossiers clos en 2012 du ressort du TGI de Lille », Actualité juridique Pénal, Dalloz , 2017, n°06, p. 263 

    Christine Desnoyer, « La jurisprudence relative à l'articulation des articles 1386 et 1384, alinéa 1er, du code civil », RTDCiv. Revue trimestrielle de droit civil, Dalloz , 2012, n°03, p. 461 

    Christine Desnoyer, « Filiation naturelle : irrecevabilité du recours contre un jugement ordonnant un examen des sangs », Recueil Dalloz, Dalloz , 2004, n°07, p. 460 

    Christine Desnoyer, « Constatation judiciaire de la possession d'état d'enfant naturel », Recueil Dalloz, Dalloz , 2004, n°07, p. 463 

    Christine Desnoyer, « Adoption simple par une femme des enfants de sa compagne », Recueil Dalloz, Dalloz , 2003, n°10, p. 655 

    Christine Desnoyer, « L'article 4-1 du code de procédure pénale, la loi du 10 juillet 2000 et les ambitions du législateur : l'esprit contrarié par la lettre », Recueil Dalloz, Dalloz , 2002, n°12, p. 979 

    Christine Desnoyer, « L'expertise biologique est de droit en matière de filiation, sauf s'il existe un motif légitime de ne pas y procéder », Recueil Dalloz, Dalloz , 2001, n°35, p. 2868 

    Christine Desnoyer, « Il n'y a pas d'homicide sur un foetus », Recueil Dalloz, Dalloz , 2000, n°17, p. 169 

    Christine Desnoyer, « Contestation de paternité : intérêt à agir des grands-parents et examen sanguin comparatif », Recueil Dalloz, Dalloz , 2000, n°17, p. 171 

    Christine Desnoyer, « Absence de contradiction entre les engagements internationaux de la France et le droit positif français sur l'attribution de l'autorité parentale », Recueil Dalloz, Dalloz , 2000, n°16, p. 163 

    Christine Desnoyer, « En application de la Convention de New York du 26 janvier 1990 sur les droits de l'enfant, l'autorité administrative ne peut prendre de décision relative à un enfant sans accorder une attention primordiale à son intérêt supérieur : annulation d'une décision refusant le regroupement familial et renvoyant l'enfant dans son pays d'origine », Recueil Dalloz, Dalloz , 1998, n°32, p. 297 

    Christine Desnoyer, « Lorsque dans une procédure les intérêts d'un mineur paraissent en opposition avec ceux de ses représentants légaux, le juge des tutelles, ou, à défaut, le juge saisi de l'instance lui désigne un administrateur ad hoc chargé de le représenter », Recueil Dalloz, Dalloz , 1997, n°35, p. 280 

  • Christine Desnoyer, Sylvie Cromer, Audrey Darsonville, Virginie Gautron, Les viols dans la chaîne pénale, 2017   

  • Christine Desnoyer, « Les violences sexuelles dans la famille », le 29 novembre 2019  

    Organisé par l'Université de Lille, avec le soutien de la MESHS et du Conseil régional, sous la responsabilité scientifique de Frédérique Le Doujet-Thomas, MCF Droit Privé, Univ. Lille & Massil Benbouriche, MCF Psychologie et Justice, Univ. Lille

    Christine Desnoyer, « Les relations Hôpital/Police/Justice », le 25 avril 2019  

    Organisée par le CHU de Lille et l'Université de Lille (IPAG, CRDP et Faculté des sciences juridiques, politiques et sociales)

    Christine Desnoyer, « Le viol dans la chaîne judiciaire », le 15 novembre 2016  

    Colloque de présentation des conclusions du programme "Le viol dans la chaîne pénale" financé par la Mission de recherche Droit et justice.

ActualitésPublicationsENCADREMENT DOCTORAL
  • Thi Nam Hai Hai, LA STRUCTURE JURIDIQUE DU CONCUBINAGE , thèse en cours depuis 2019  

    La famille est la cellule de base de la société. La stabilité de la famille influence directement la société. Néanmoins, le modèle familial traditionnel est actuellement concurrencé par d'autres formes de conjugalité. La situation des deux personnes de même sexe ou de sexe différent vivant ensemble sans être marié est de plus en plus fréquente. Cela vient de nombreuses raisons telles que: changements dans les pensées et les modes de vie des jeunes, changements dans les préjugés sociaux, développement de l'union libre, progressive émergence des valeurs démocratiques, les transformations lentes mais profondes du mariage lui-même, etc… La vie de couple hors mariage s'appelle “concubinage”. Le concubinage est un phénomène social qui ne correspond pas à la norme sociale qu'est le mariage. Il existe depuis longtemps dans la société vietnamienne. Les raisons de cette situation sont très diverse, telles que: - Premièrement, à cause de la guerre au Vietnam. Pendant la guerre, les gens ne pouvaient pas s'inscrire pour se marier ; - Deuxièmement, en raison de la perception d'une partie de la population. Selon les coutumes vietnamiennes, lorsque les hommes et les femmes organisent une cérémonie de mariage traditionnelle, ils sont reconnus mari et femme par la famille et les amis. Cependant, conformément à la loi vietnamienne, les hommes et les femmes ne sont reconnus comme mari et femme lorsqu'ils enregistrent leur mariage auprès des organismes publics compétents. A l'origine, avant 2000, les couples vivant ensemble sans être mariés étaient assimilés à des couples mariés au moment de la rupture. En effet, on leur appliquait les règles légales du divorce comme aux couples mariés. Mais la loi du mariage et de la famille adoptée en 2000 a rejeté cette solution. Cette loi protège seulement le mariage enregistré selon les conditions qu'elle a prévues. L'absence des règles juridiques protégeant les couples non mariés porte atteinte aux intérêts légitimes de l'un ou de l'autre concubin au moment de la rupture. En effet, tous les aspects qui concernent la communauté de vie tels que les relations entre les partenaires et leurs enfants, les biens, la fiscalité, les droits sociaux ne sont pas prévus par la loi. Par exemple, à l'égard de l'enfant, seul le mariage prévoit des dispositions en matière de filiation comme la présomption de paternité. Lorsque les parents ne sont pas mariés entre eux, l'établissement de la filiation n'est pas automatique. Dans la relation entre les partenaires, les concubins ne sont soumis à aucun devoir de fidélité, de secours ou d'assistance. Selon la loi de 2000, il faut une procédure administrative ou judiciaire pour reconnaître l'enfant à l'égard du père. Actuellement, le nombre de mariages diminue. A l'inverse, le concubinage est en augmentation dans toutes les classes sociales. Cependant, l'institution du mariage reste le fondement essentiel de la famille légitime dans la loi de 2014 sur le mariage et de la famille. Au Vietnam, le mariage est très important parce qu'il correspond à une culture. Il est preuve d'un amour et d'une responsabilité entre deux êtres. Selon la loi du mariage et de la famille entrée en vigueur en 2014, on peut constater que cette loi n'interdit pas la situation d'hommes et de femmes vivant ensemble comme mari et femme sans enregistrement du mariage, mais elle n'encourage pas cette relation. Selon laquelle, l'union libre n'est pas assimilable au mariage. D'abord, elle ne bénéficie pas de protection légale dans les aspects personnels. Puis, les droits et obligations des hommes et des femmes vivant ensemble en tant que conjoints et enfants sont résolus de la même manière que les droits et obligations des parents et des enfants. Enfin, en ce qui concerne les aspects patrimoniaux, ils sont traités selon la convention des intéressés. En l'absence d'accord, ils seront réglés conformément aux dispositions générales du droit civil. En conséquence, les couples non mariés doivent subir tous les inconvénients des actes juridiques. Parce que, conformément aux dispositions du droit vietnamie