Une faculté ouverte sur l’Europe et sur le monde

JCP.G N°4 du 27 janvier 2020

Une faculté ouverte sur l’Europe et sur le monde

Jeanne-Marie Tuffery-Andrieu, doyen de la faculté de droit de Strasbourg

Faculté de Droit, de Sciences Politiques et de Gestion

La faculté de droit de l’université de Strasbourg souhaite permettre à ses étudiants de promouvoir leurs qualités humaines et de disposer des compétences nécessaires à leur insertion sur le marché du travail.

Si, d’une part, les licences en droit (parcours droit, parcours droits européens) et en AES (parcours gestion, parcours comptabilité et finance) conduisent à l’acquisition des principes généraux, et, d’autre part, les quatorze mentions proposées en master, à une spécialisation approfondie en lien avec les exigences professionnelles, la formation offerte vise aussi à développer l’esprit critique des étudiants en les sensibilisant aux idées et au monde.

À ce titre, la faculté est fière de ses double-diplômes et des partenariats conclus avec les institutions européennes. Ainsi, le master Cyberjustice tire-t-il avantage de la convention récemment signée avec la CEPEJ (Commission européenne pour l’effi cacité de la justice du Conseil de l’Europe). La faculté promeut aussi les séminaires internationaux, notamment avec les universités d’outre-Rhin. Encore la faculté encourage-t-elle la participation de ceux-ci aux divers concours interna­tionaux, dans lesquels ils se distinguent d’ailleurs. Elle accueille avec intérêt ces tournois, telle, en mai 2019, la 35 e édition du concours Rousseau et assume, avec ses partenaires, l’organisation de certains à l’instar du concours René Cassin ou de la Balance de cristal Junior.

À Strasbourg, par l’engagement de sa communauté universitaire, la faculté s’ouvre ainsi à l’Europe et au monde, parce que l’enjeu et le défi de sa conduite relèvent de sa nature profonde. En effet, héritière des valeurs de justice, de paix et de progrès portées par les auteurs rhénans du XV e siècle, la faculté s’appuie résolument sur cette culture humaniste qui lie indéfecti­blement le savoir à l’être.


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